La Vitamine D est un sujet maintes fois abordé par les professionnels de santé. En effet, elle fait l’objet de nombreuses études scientifiques, notamment afin de comprendre son rôle au sein de notre organisme, mais également les conséquences d’une carence en vitamine D pour la santé humaine. Et pour cause, une grande partie de la population française serait carencée.
Face au Covid-19 et à la situation que nous vivons tous aujourd’hui, il est d’autant plus important de prendre soin de sa santé et de soutenir son système immunitaire.
“La vitamine D contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.”
Le lien entre vitamine D et immunité
La vitamine D joue un rôle fondamental dans notre immunité. En effet, sans vitamine D, il semblerait que le système immunitaire ne démarre tout simplement pas et est donc inefficace. Cela s’explique notamment par le fait que les lymphocytes T, qui sont chargés de tuer les virus et les bactéries, doivent d’abord trouver de la vitamine D en circulation pour activer leur processus de défense. La vitamine D permettrait de stimuler la production de substances antimicrobiennes au niveau des gênes et aurait donc un rôle central contre les maladies infectieuses.
De nombreuses études ont démontré que la vitamine D aidait l’organisme à résister aux infections respiratoires, notamment chez l’enfant, en permettant le bon fonctionnement de notre système immunitaire. D’autres études font directement le lien entre les maladies auto-immunes (dégénércescence du système immunitaire) et la carence en vitamine D.
La carence en vitamine D de plus en plus répandue
Les besoins journaliers recommandés en vitamine D sont d’environ 5 µg pour un adulte. Deux tiers de cette vitamine D seront donc synthétisés par l’organisme, en s’exposant aux rayons du soleil au minimum 10 minutes par jour. Le tiers restant viendra de notre alimentation. On estime que le taux sanguin normal de vitamine D pour un adulte en bonne santé doit se situer entre 40 et 45 ng/ml (soit de 100 à 112,5 nmol/l).
La carence en vitamine D est un sujet récurrent du monde médical, notamment car elle peut avoir de multiples conséquences importantes sur la santé et le bien-être. Pourtant, cette carence est fortement répandue et tend à se généraliser dans notre monde moderne. C’est notamment une étude[1] publiée en 2010 qui fait un constat alarmant. En effet, elle révèle que 59 % de la population mondiale manque de vitamine D, dont 25 % des sujets de l’étude présentent des taux extrêmement bas.
Une autre étude[2] publiée en 2012 révèle qu’en France, 80 %** des personnes âgées de 18 à 74 ans, présentent un déficit en vitamine D, dont 42,5 % avec un déficit modéré à sévère, et 5 % avec un déficit sévère.
Beaucoup de personnes ressortent de la saison hivernale avec en déficit ou une carence de vitamine D. En effet, malgré les réserves faites pendant l’été, ces dernières sont souvent déjà épuisées à la fin de l’automne. Il est possible de vérifier son taux de vitamine D vers le mois de Novembre, afin de savoir si une complémentation serait utile ou non pendant tout l’hiver. Parlez-en à votre médecin.
Pourquoi faire le choix d’une vitamine D2 végétale ?
Le Dr Holick est l’un des plus grands spécialistes mondiaux de la vitamine D. Il en a notamment identifié la forme circulante, puis la forme active. D’après sa propre expérience et des études menées sur la vitamine D2 végétale, il semblerait que cette dernière ait les mêmes capacités que la vitamine D3 à remonter les taux sanguins. En effet, lorsque nous exposons notre peau à la lumière du soleil, notre organisme fabrique de la vitamine D3 (le cholécalciférol). La grande majorité des végétaux synthétisent quant à eux, de la vitamine D2 (ergocalciférol). C’est le cas du champignon agaricus bisporus, présent dans la vitamine D végétale bio du laboratoire SFB.
Il y a une polémique autour de ces deux formes de vitamine D, qui suggère que la vitamine D2 serait moins biodisponible ou permettrait de moins remonter les niveaux sanguins que la vitamine D3. D’après une large étude du Dr Holick sur la question, il a été prouvé qu’une dose de 1000 UI de D2 remontait de manière identique les taux sanguins, qu’une dose de 1000 UI de vitamine D3.
Afin de s’assurer que la vitamine D2 ne gêne pas l’assimilation de la vitamine D3 par l’organisme, il a été donné lors de cette étude une capsule de vitamine D2 et une de vitamine D3, toutes les deux dosées à 500 UI. Il a été constaté que les taux sanguins ont augmenté exactement de la même façon, qu’une personne ayant pris une dose de 1000 UI de vitamine D3.
Enfin, également en raison du fait que la vitamine D2 provienne de champignons et est ainsi est un produit alimentaire, le Dr Holick et son équipe ont voulu savoir ce qu’il en retournait en mettant la vitamine D2 dans des aliments. Aux USA le jus d’orange est maintenant enrichi avec de la vitamine D. De la vitamine D2 a donc été ajoutée dans du jus d’orange pour voir si cette dernière serait biodisponible. Il s’avéra que la biodisponibilité à la vitamine D2 était identique à celle de la vitamine D3 dans du jus d’orange.
Le Dr Holick est assez confiant sur ces résultats. De plus, en tant que médecin, il a également l’expérience du terrain. Il a notamment travaillé sur des enfants prouvant que la vitamine D2 est aussi efficace que la vitamine D3 en ce qui concerne le maintien de la concentration en vitamine D.
Se complémenter avec la vitamine D Végétale bio du laboratoire SFB
La vitamine D des laboratoires SFB est 100% naturelle, certifiée Bio et exclusivement d’origine végétale, issue du champignon de Paris (Agaricus bisporus). Ce champignon est facilement cultivable et n’a pas d’impact écologique désastreux, ce qui permet à SFB de proposer une vitamine D végétale qui respecte la biodiversité et les espèces menacées, contrairement à la vitamine D végétale extraite du Lichen Boréal.
Une gélule par jour de vitamine D végétale apporte 25 µg de vitamine D2 (ergocalciférol), soit 500% des apports journaliers recommandés (AJR).
Ce complément alimentaire convient aux végétariens, aux végétaliens, ainsi qu’au mode de vie Vegan.
Références :
[1] Dr. Richard Kremer du McGill University Health Center, Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, mars 2010.
[2]Annabelle Reynaud Foray, Étude de prévalence de la carence en vitamine D chez des sujets adultes sains de 18 à 50 ans en Haute Savoie
Michael. F. Holeck, The vitamin D solution